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Crise du logement : certains "snowbirds" n'ont pas le choix

Dernière mise à jour : 31 mars

Vous trouvez que les snowbirds sont chanceux de passer l’hiver au soleil ? Eh bien détrompez-vous. Pour certains Québécois, ce n’est pas une question de confort, c’est tout simplement une question de survie. C’est le cas d’Yves Viens.


Au micro de Benoit Dutrizac, ce « snowbird forcé » l’a avoué : à plus de 1000 $ par mois, il n’a tout simplement pas les moyens de se louer un appartement. En vivant dans sa roulotte, il réussit à minimiser les frais mensuels pour vivre une retraite digne de ce nom.


Selon lui, il est loin d’être le seul dans sa situation. Il estime qu’il y a 1200 campings au Québec qui composent avec une situation comme celle-là. Et encore, M. Viens se considère chanceux, lui qui a travaillé dans le milieu de la santé.


« J’ai contribué à une retraite, mais certains dans mon camping vivent seulement avec les retraites québécoises et canadiennes », a-t-il déploré.


Pour lui comme pour bien d’autres, une roulotte au Québec l’été et du camping au soleil l’hiver, c’est une réalité, et avec l’inflation, c’est un phénomène qui risque de prendre de l’ampleur.



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